Un trou de première classe

Chose promise, chose due, nous devions parler d'évacuation, alors évacuons!

Pour bien situer l'action, remettons la dans son contexte.

Dans l'épisode précédent, Philippe et Marie-France sont passés mettre les pieds dans la boue pour niveler ce qui sera le futur sol de la cuisine. Le bidim est posé, la boue est maîtrisée, le hérisson de cailloux dressé. Nous sommes le 13 juillet, et pour aller plus loin dans les travaux, il faut faire les évacuations, car une cuisine sans évacuation, c'est pas rose tous les jours!

Mais tout est prévu quand la maîtresse de maison s'appelle Natacha!!!

Le lendemain, c'est le débarquement des Dolaysiens et de la mini pelle. Jérémy, le maître incontesté du maniement de la pelle, nous a fait une belle tranchée en un temps record. Il était tellement en forme, qu'il a même étalé un tas de terre et déraciné des tronc indésirables!

Mais trêve de blablatages, rien de tel que la traditionnelle vidéo en stopmotion pour illustrer le tempérament guerrier de Jérémy et de sa mini pelle.

jérémy le défonceur

La dure loi de l'évacuation, c'est qu'il faut toujours une pente. Et pour créer une pente, en sachant déjà le point haut, il faut trouver le point bas... C'est donc le premier objectif de la journée. Après la découverte de ce point stratégique, c'est le retour de philippe le calculateur et son niveau.

  

Malheureusement, on est plus dans la maison, mais on est toujours les pieds dans la boue. Mettre des tuyaux bout à bout, c'est marrant, mais ça l'est beaucoup moins quand on s'enfonce dans 15 centimètres de terre gorgée d'eau!

 

Autre moment fort, la perforation des fondations pour faire sortir les tuyaux de la maison (parce qu'une évacuation c'est bien, mais une évacuation qui évacue hors de la maison c'est mieux!). Avec la Makita, on frôle la boue et on en bave (comme s'il n'y avait pas assez d'eau).

Les évacuations sont terminées, les gaines d'arrivé d'eau et d'électricité sont passées. Y'a plus qu'a faire le reste maintenant...